Les passages Juillet 2012 au sujet de l’épiphanie…
Modèle général Translatio ad quelque chose dont le grand intérêt réside dans le modulo de l’opération visuelle.
Ce qui permet le mouvement dans le pentiptyque, c’est :
L’organisation d’une topographie
Des points de repères, des haltes, des repos (voir Hart Benton) qui sont matérialisés par :
La répétition d’au moins une des composantes d’un motif (couleur, forme, nature du signe, empreinte…).
Une organisation verticale de type « Passages de moindre résistance »
Une organisation en niveaux, voire en strates (devant-derrière, entre, au-dessus).
La mise en branle d’une force psychopompe
Le mouvement est un déséquilibre.
Il y en a deux : le désir et la perte. En travaillant à la lisière du Kitsch je m’appuie plutôt sur la deuxième. Le moteur ne fonctionne pas sur le mécanisme de la brisure d’aura (Celeste Olalquiga) il est alimenté par la mise en paradoxe de la représentation de la nature des signes offerts au regard (ref bib à voir dans basbib, les mots icône, paradoxe, et sémiotique sont totalement galvaudés sur le net qui ne peut plus jouer le rôle de bib. de références La référence est l’image précaire de Jean Marie Schaeffer.). Instauration d’une confusion entre ressemblance et représentation par exemple.