J’ai travaillé dur pour avancer Mets ton manteau… Je mets pêle-mêle l’essentiel des réalisations.
Le tout pour arriver à une dislocation presque totale. C’est sur ces ruines nécessaires que s’est imposé Similsque.
C’est un travail sur la mémoire, plus particulièrement sur les machines de mémoires (Carruthers Mary, Machina memorialis, NRF, 1998). Elle est élaborée sur la pensée diagrammatique (Pierce, Deleuze…) et a pour objectif la réalisation d’un indice (Gell) qui s’érigerait par un collage syncrétique entre deux univers symboliques étrangers (Dispositif / dislocation Quintin, Bricolage africain des héros Chrétiens, Mary).
Pour l’instant ça donne ça avec pour prototype du diagramme de départ le mode opératoire syncrétique.
Les soudures sont toujours aussi pourries.
Sur pied.
C’est qui, le petit monsieur oisif, sur le côté ? Une manière de spectateur ? Ou une manière d’escargot d’Annonciation de Francesco del Cossa ? (T’inquiète, je ne vais pas en faire tout un binz comme D. Darras ! 😉 )
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C’est l’artiste allemand J. Beuys, qui après s’être recouvert la tête de miel et de feuilles d’or raconte l’art moderne à un lièvre mort. http://run-run-run.skyrock.com/3080542599-Comment-expliquer-la-peinture-a-un-lievre-mort.html
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Ah, merci, j’y vois plus clair. C’est vrai qu’il est badigeonné de choses jaunes.
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