Voici Marcyas, un nouveau venu. Ça se bouscule déjà au portillon. Au moins 2 options : un dessin composé de plusieurs anamorphoses, reliées à la surface et sur les cylindres (va falloir se procurer des descentes de gouttière de différents diamètres (c’est possible)). Avec ajouts de gravure sur verre et sur les tubes en zinc. Option 2 : un dispositif avec un boolimage placé perpendiculairement.
Comme souvent alors que le travail sur les anamorphoses est en cours, une sérendipité survient. Ici une conférence sur Lichtenberg et Hogarth lors d’un séminaire de Bouveresse au Collège de France (2010). Je le mets à disposition sur dropbox.
Pour Marcyas, c’est parti d’une série de dessins de macabouilles au fusain.
Plus particulièrement celui de gauche.
J’ai fait les caches à la machine (c’est une bénédiction).
Et le dessin à la pierre noire cirée.
Ça s’est imposé alors que j’étais en train de finir Picasso… J’avais réalisé un portrait type de ses tableaux de maîtresses.
Anamorphosé pour occuper l’arrière du panneau.
Les cylindres étant réalisés à l’aide de descentes de gouttières en zinc (très beau, pas cher).
Avec une surélévation par une vitre insérée dans un chemin de plomb.
J’ai continué le dessin intermédiaire des Khmers, mais c’est pour l’instant en carafe.