Les Khmers verts avancent de façon désordonnée. Je mets les différents tirages et planches réalisées, mais j’ai dû interrompre les investigations pour cause de préparation intensive de l’exposition de Gravelines des 6 et 7 août au pavillon Varenne.
Assez intéressant de combiner une planche laser avec un planche à la main (les deux images précédentes). Un tirage de la planche à main sur un japon bon marché. J’ai profondément modifié ma façon de tirer ; j’en parlerai peut-être plus tard.
J’ai réalisé un montage qui permet l’ajout d’une prédelle sous Io ; c’était vraiment nécessaire. Il me reste à la faire. J’ai prévu un dispositif amovible pour pouvoir faire une version rapide pour l’expo qui pourra être retravaillée plus tard.
Ça ne manque pas de vis (ce matin, il badine).
Le pantaptyque d’Epitomé et devenu le quadriptyque de la Nemesis de la femme modeste. Retravaillé le support du panneau 4 (décidément je suis vraiment une grosse burne en soudure). Ça fait un peu catafalque ; il ne manque plus qu’un castrum doloris en harengs saurs (puisque je vous dis qu’il badine), mais ça me va.
Lu l’édition des textes précurseurs de Vivre et penser comme des porcs (Les Animaux malades du consensus) de Châtelet ; ça ma branché sur La pensée diagrammatique, Un Nouveau Régime de pensée de Noëlle Batt et enfin sur le Bacon de Deleuze. Retombé aussi sur le Vogels net de Gell, direction les Simondon et Chateau sur la genèse et l’individuation. Pour réaliser les étiquettes de l’expo, j’ai une fois de plus pioché dans l’excellent petit livre de l’OCIM Textexpo de Daniel Jakobi. Ça fume.