La partie supérieure du registre droit est posée. Je ne sais trop qu’en penser. Ça souligne de façon crue l’importance du placement de l’œuvre en exposition. Les parties éclairées doivent être loin du diptyque, qui doit être, lui, dans une partie sombre (Tanizaki n’est pas la moitié d’un con).
L’arrière est bien aussi.
Je mets une photo au flash pour voir les différentes zones entre transparence et réflexion.
En écho, je développe le dessin des vieux du miroir en triptyque xylographique. Le panneau central, après de très nombreux dessins, est réalisé en trois versions.
Un des dessins de travail (il a servi de tracé séminal pour la tête de Suzanne).
Les trois versions se déclinent en deux versions à voir de près et une version à voir à la distance des autres panneaux (environ 5 m).
Les deux versions de près.
La version du triptyque (voir aussi la gestion des blancs).
J’ai eu des misères pour la gravure laser (une découpe intempestive et un décalage qui m’a coûté un temps fou de réparation à la roulette de dentiste). Je tire jeudi ; on verra si les « réparations » font leur office.
Les dessins pour le panneau de droite sont en cours. Reste à déterminer l’allure générale du dispositif (cadre, accrochage, etc.) et la relation entre les tirages et le diptyque.