La décision de n’utiliser qu’une seule image sur le registre supérieur droit est arrêtée. J’ai travaillé (énormément) le dessin ; je ne mets que les deux derniers états. Et j’ai gravé une planche sur un format légèrement réduit pour avoir une matérialisation de l’image avant son passage sur miroir.
Les deux derniers états.
Détail de la planche gravée. J’inclus maintenant directement en découpe les zones qui risquent de faire contact. J’ai aussi modifié ma façon de tirer les planches.
Un triptyque papier est prévu pour cette version. Je mets un des premiers dessins de préparation.
J’ai formalisé le travail sur miroir et j’en ai fait une petite œuvre qui me sert de matériel de démo. Ça s’appelle Picasso trouve des girolles et ne sait qu’en faire. Ça se présente sous la forme d’une boîte fermée. La procédure de traitement est en diagramme sur le couvercle avant, une gravure tramée des girolles au verso ; la gravure en elle-même montée sur plombs avec un encadrement en verre structuré est au milieu. Le couvercle arrière (non présent sur les photos) est en peuplier, mais il y a encore possibilité de changement.
Avec cette présentation, l’intérêt des arrières-plans apparaît de façon très claire.
Je n’ai pas oublié Néphélococcygie, ni une série de tests de gravure du côté du tain des miroirs, qui me semblent pour l’instant carrément porteurs.