Les montages se précisent, le registre inférieur droit est monté/collé. Je suis satisfait du retournement de feuillure entre les deux images. Incluse, une plaque initialement prévue pour un travail de gravure (c’est encore d’actualité) : Les Khmers verts. L’image est issue d’un dessin de victimes du génocide vietnamien (2009), glissée sur plaque de zinc et finalement fixée sur planche de bois. La charge, ce sont les pertes successives. À jouer : les déplacements de carreaux (invisibles sur ces photos), les deux QRcodes latéraux (manières de portes diaconales), le panneau arrière ouvrant et les gravures de textes.
La mise en place des lithophanies s’avère difficile. Il faut trouver une solution viable entre les caractéristiques des travaux et les impératifs de cette technique assez complexe. J’ai fait un essai de moule en Gelflex. Ce n’est pas très convaincant.
La plaque nécessite un gros capital temps sur la machine.
Le résultat est un peu foireux, et la foirade difficilement diagnosticable. Je ne m’en sortirai pas tout seul, c’est sûr.