J’ai produit deux couples d’images gravées, et adapté le dispositif d’encrage dont je me sers pour expérimenter la cohabitation entre les tirages et la partie avec le déflecteur. Je ferai les tirages jeudi.
Le deuxième couple est pensé avec ses blancs répartis en fonction d’une surface d’empagement, donc avec une cadence de dispositif de lecture. En essayant d’en garder le dynamisme sans induire le réflexe « lisible », on ne lit pas une image.
La forme émergente de la partie gauche renforce, je l’espère, l’objectif précédent. La partie du bas présente deux miroirs en vis-à-vis. Un des deux fait déflecteur pour l’autre, une gravure attaque les couches (peinture masquante et tain) qui joue à la fois sur la transparence et la réflexion.
Le miroir déflecteur.
Le dispositif monté avec la gravure en place.
Le travail de gravure marche plutôt bien, hormis la peinture, qui adhère peu. À perfectionner donc.