Quatre jours de gravure non-stop avec Julien Pelletier, spécialiste aquatinte. L’un des objectifs était d’associer les petites planches de xylographie, que je trouve un peu sèches, aux gris des tirages zinc. Après quelques méandres, j’en arrive aux conclusions suivantes : le mixage des deux procédés est possible (un exosquelette avec le bois, des débordements en morsure, aquatinte, pointe sèche), le format doit être assez important (ici les plaques font 15 x 20 : c’est trop juste), il faudra utiliser le système des poches à la fraiseuse pour gérer les cadrages, les aquatintes devront être testées en lavis, l’encrage doit être collant (du RSR sans mélange me semble bien, même si l’essuyage est un poil pénible).
Le dessin de départ (environ 80 cm).
Travail au noir.
Assemblages et modifications.
Tirage n°4 : faiblesse des gris mais bonne impression de la Déjanire.