L’état d’avancement de l’animal.
Grand dessin en route depuis trois semaines. J’y travaille quasi en aveugle quand j’ai le nez dessus. De loin on y distingue mieux les personnages. Le prototype est un “portrait type” de trois images d’une scène de l’épuration. Une jeune femme, des vieux. La partie droite devrait recevoir l’arbre (dans le livre de Daniel, c’est l’élément qui confond les calomniateurs) qui constitue un bel arrière-plan d’une Suzanne de Francesco Hayez (Circa, 1850). Il devrait se situer au niveau du quatrième personnage en haut, à droite.
Testé une manière d’extrusion du damier au niveau du carton-bois des passe-partout. J’y ai adjoint un essai de gravure. Dans le viseur, l’aplat du casseta de Io ou Marche blanche de Fronce. Il faut que ça travaille.
Lu avec un fond de naïveté la dernière monographie de Boursier Mougenot, Perturbations, Presse du Réel, mai 2015, (sti lal qui met des monios sur des Lespaul) en espérant un éclaircissement sur le segment entre les détecteurs et les moteurs (du code, quoi). De mon point de vue les enjeux sont là. Podbal et roupie de sansonnet, c’est fort dommage et à la fois réconfortant (on peut être un peu mesquin aussi).