J’ai finalement pas mal bossé alors que c’est traditionnellement une période d’empêchements généralisés. Interrompu depuis juin 14, j’ai terminé le pan gauche (par rapport au dessin) de la veste de la jeune femme et surtout je me suis payé sa tête. L’enfant à côté de la grosse dame sera donc gratifié d’un strabisme. Reste la répartition de la réserve et de la partie dessinée. C’est un enjeu. J’espère ne pas mettre aussi longtemps à me décider, mais comme dit ce vieux Bonnard (t’as vu, dis, t’as vu, va y avoir une grosse méga rétrospective à Orsay, Yesssssss !!!) : « Il y faut du temps et c’est une partie incompressible. » (À peu de chose près).
Le gros de l’effort a été porté sur la panneau droit du Chef-d’œuvre. En photo ça ne rend pas terrible, mais je suis assez satisfait à l’œil nu.
Je le mets en petit aussi pour qu’on se fasse une idée à la bonne distance. Le « difficile » a consisté à répartir les éléments « mosaïqués » et ceux qui sont analogiques. J’ai aussi débloqué le panneau gauche en dessinant la petite main de Picasso qui va faire office de pont vers la partie gauche de la veste.
Je mets aussi les deux panneaux côte à côte pour voir.
Comme annoncé, j’essaie d’avancer de front l’ensemble des éléments. Ce qui veut dire que j’ai commencé à carburer grave sur les cadres (le Fablab ouvre en janvier, je ne voudrais pas perdre trop de temps). L’approche Whistler/Degas me semble judicieuse et je creuse dans cette direction.