Je ne m’étais jamais vraiment penché sur la Figuration Narrative. Je partage pourtant pas mal de chose avec eux. Les images d’images (un texte de Bourdieu dans le catalogue d’une expo de Rancillac que j’ai retrouvé dans un ancien Arts Press (no 133, fév. 89), La Peinture photogénique de Foucault dans un catalogue d’une expo Fromanger (republié et agrémenté en septembre de cette année au Point du Jour), le petit carnet d’Adami Les Règles du montage (Plon, 1989, c’est une collection dont le directeur était A. Veinstein, les franceculturistes apprécieront), deux catalogues, celui de l’expo de Jacquet en 2005 à Nice et celui de Beaubourg Figuration narrative, Paris 1960-1972 en 2008 et quelques autres récits glanés ici et là, m’ont permis de creuser la question et mon découvert bancaire.
J’essaie plusieurs postures de projections associées au masquage par bande. Dans le dernier post je pensais voir « monter » la peinture ; évidemment je ne vois plus rien du tout. L’humidité gêne l’adhésion du tape, et un essai (la première image du post) de sablage n’est pas très concluant pour la même raison.
Les dessins de projection, par contre, semblent une approche opérationnelle.
J’ai terminé la deuxième plaque et fait quelques tirages dont un à l’aquarelle. Il me reste à dégager les blancs des scories du travail de gouge, et on pourra dire que la gravure est fermée.