Passé une semaine dans le Limousin (impossible de le dire sans prendre l’accent de Papy Mougeot) avec Véro et deux de nos trois monstres. Ça me permet de dire, d’abord, que c’est rempli de daims (paraît que ce sont des chevreuils, mais j’en doute) ; ensuite, qu’il y a, à Eymoutiers, l’espace Rebeyrolle. J’en vibre encore.
Le stage de gravure, c’était avec Jean Lodge. Je pourrais certainement me resservir de certaines approches (voir le post suivant, j’ai pris du retard).
Ici gravure à bois perdu (ça doit pas s’appeler comme ça). En gros on fait une première série de tirages pour la couleur no 1, on retravaille la plaque, qui est irrémédiablement modifiée, et on fait les tirages de la couleur no 2 sur les tirages de la no 1, et ainsi de suite).
Ici, trois couleurs : jaune, rouge vermillon, plus : noir ou bleu opaque.La plaque terminée est comme toujours plus intéressante que les tirages, je l’ai essayée avec une superposition de verre sablé (je suis dedans en ce moment, voir le post précédent).
Ici, un tirage en noir en une fois. Là une technique au nom japonais (oublié) avec trois couleurs en simultané, ce qui permet d’ajuster les teintes. La technique de calage est intéressante. Je mets le compte rendu technique sur cette page.