Continue les regardeurs/translatio. L’image séminale, le noyau, se décline en parties ou dans sa totalité en empreintes, dessins, sablages ; et la trame s’étend sur le dispositif alors que de nombreux essais disparaissent. Ça commence à ressembler à une veduta Renaissance.
Les pieds sont encore à l’étude, ce sera peut-être un système qu’on accrochera à une cimaise.
De face.
Le socle est une ancienne caisse que j’ai rétrécie, non sans peine ni sans marque, placée dans une cornière rouillée en damier.
La base de verre structuré devant le « viseur » projette également sur le registre supérieur du socle un damier lumineux.
Et une constellation de points se reflète sur le miroir entre le « viseur » et le dessin.
Le miroir à cet endroit est gravé (côté tain) du motif qui manque sur le dessin du fond.
L’ensemble est assez bluffant bien qu’incomplet encore. Il reste toutes ces opérations de réglages qui sont finalement pratiquement aussi longues que la conception et la réalisation du corps de l’œuvre. Je suis quand même plutôt satisfait.