Le travail sur les palettes de synthèse s’avère ouvrant et va permettre de débloquer la peinture Salesse. Ça met en évidence aussi des structures qui n’étaient pas exprimées auparavant et qui deviennent évidentes, ici une crucipartition. Ça permet donc aussi des brèches dans le registre iconique.
Au niveau des sources ça avance pas mal le travail aussi, en permettant de manipuler juste le rapport de couleurs (luminance, ici) et d’y créer des tensions et des fronts comme des passages. Ce travail là est voué à un arrêt prématuré du fait du mauvais choix de la source, une fois de plus je me laisse emporter par la charge de l’image sans m’apercevoir que la structure est ingérable (ça triangule à tout va, les raccourcis sont inexplicites au possible une fois rendu au trait, la charge de pathos pourrit complètement l’image). Je mets la planche quand même comme pense-bête : le réglage de la balance des blancs est plus judicieux ou moins moyennaire que celui par niveau, le choix de l’échelle des carreaux se détermine par la plus petite unité insécable (soit sens soit tâche) ici 80 pixels de côté ce qui correspond à une tête de valeur grise dans l’arrière plan.