Je reviens sur la Kore, après avoir marqué un temps d’arrêt devant une femme en noir et blanc (1943) de Picasse, toujours dans une perspective de séances courtes.
J’ai aussi mis la main sur un logiciel de colorisation . Il a ceci d’intéressant qu’on ne peut coloriser que les plages ayant la même valeur que celles choisies dans la palette. Ça donne ça pour ce dessin là.
J’ai fait quelques essais en gris avec un mode opératoire un peu spécifique que je compte utiliser dans un cadre didactique à la rentrée. Le dessin ne se fait qu’une fois les hautes valeurs fixées grossièrement au pinceau.
La suite consiste en un placement progressif des extrêmes.
L’objet pour Analepse étant de reproduire la peinture avec les crayons de couleurs, ce qui explique la lumière rasante (je ferai un point des différentes propositions élaborées pour la Kore au prochain post). En attendant je m’amuse un poil avec le colorisateur.