J’ai décidé de mener de front le grand dessin et la peinture. Le travail peint commence à se matérialiser, l’ébauche est faite (à cause d’une erreur de proportion j’ai dû recadrer en bas. Ça va poser problème pour l’encadrement et déranger le rapport du format). La répartition des valeurs est bonne et me laisse de la latitude dans les grandes lumières comme dans les ombres.
La première esquisse est mollasse, je commence à rentrer dans l’image. J’ai fait aussi quelques essais de lumières, rien d’effarant non plus de ce côté là.
Quand même un petit coup dans la gueule du motif poulbesque, y a peut-être mèche.
On va dire qu’on est dans la phase germinale. je garde ouverte une interprétation moins adhérente à l’image sous le coude en poussant un des petits dessins du 5 novembre.
Pour le dessin c’est encore au montage. J’ai marouflé le Fabriano au format, c’est visiblement un papier qui marque, ça va m’énerver, je le sens. Pour le motif j’en suis au montage et j’arrête là parce que sinon ça n’en finira jamais.