Je suis éloigné de l’atelier depuis le 20 juillet. Je recommence à pouvoir travailler un jour sur deux en alternance avec les visites que je fais à la clinique du Croisé. J’avais comme projet de profiter de certaines périodes, durant les soins d’Yvonne, pour aller voir de très près les Jordaens du musée de Lille. Il y en a quelques uns de fabuleux et plus particulièrement une étude de vaches qui m’a toujours emballé.
On les retrouve entre autres dans un enlèvement d’Europe malheureusement noyé dans un grand mur coulis de fraise.
J’ai repris ce matin la peinture abandonnée une quinzaine de jours plus tôt, avec des glacis, je ne suis pas encore rentré dedans, je temporise.
Je n’ai pas de nouvelle du socle en acier que j’ai commandé pour l’Actéon clandestin aux ateliers des paralysés de France. J’ai bien de l’espoir la dessus, si ça marche, chaque œuvre en sera dotée.
Pour ceux que ça taraude la polreed va jouer un petit morceau de ragtime du cocker bourguignon.
Que voilà un morceau admirable ! J’aime particulièrement les quatre notes basses à la quinzième seconde…
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Les vaches de J.J. ont beau être osseuses, elles me font penser aux montres molles ! :-O
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Merci pour votre visite sur mon blog, ça fait du bien de lire ça un dimanche matin quand on craint que des agressifs viennent encore se défouler ! 🙂
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À potentat du sud : que voilà une mélomanie précise et une référence iconographique de première.
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À journaldunechomeuse : J’aime bien votre blog, on sent que les problèmes ne vous sont pas épargnés, mais vous déployez une belle énergie à les combattre. Ça doit en aider plus d’un.
Amitiés
JJ
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Mais c’est qu’elle sonne admirablement, cette gratte-là ! Et le petit morceau a du mordant aussi, Chapeau bas, encore une fois. Et, de grâce, qu’on vous entende à nouveau, tous les deux !
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Grazie mille.
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