Ça avance plutôt tranquillement, sans anicroche. Le registre du bas s’articule pas mal avec celui du milieu, c’est pas furieux mais ça coulisse. Pas de problème d’enchaînement, je sens que je vais fermer celui-là dans pas longtemps. J’ai été scotché par une série d' »À voix nue » avec Annie Le Brun. Articulations pertinentes, belle perspective, du recul ; enfin, apparemment du lourd. J’ai donc acheté, aussi sec, Du trop de réalité, folio essai 2004. Y’a quand même un petit goût de vertueux, de culture de la belle phrase qui m’agace un peu.