La Suzanne est achevée (dans tous les sens du terme). Ça a été un peu plus long que prévu, et le séchage n’est pas terminé. Je vais devoir encore attendre au moins une bonne semaine avant de pouvoir la retourner pour couper le carton-bois.
En attendant, je travaille sur de petites versions anamorphotiques des kmers pour une exposition de trois jours en décembre.
Demain, j’accroche Volpato à Gravelines. Pendant ce week-end d’ouverture des ateliers d’artistes, Véro et moi allons essayer de prendre des contacts avec nos amis flamands qui organisent conjointement la manifestation.
Bonjour,
Comment décidez vous qu’une oeuvre est terminée? Je fais moi même quelques travaux en peinture et c’est une question que je ne parviens pas à résoudre…
Paul Valéry disait « Il n’y a pas d’oeuvres achevées, il n’y a que des oeuvres abandonnées » et c’est bien ce qui m’arrive: j’arrête toujours la dernière scéance de travail sur une oeuvre en sachant absolument pas que ce sera la dernière, en me disant: la prochaine fois, je ferais ceci ou celà. Et puis, pour une raison ou une autre, il n’y a jamais de prochaine fois.
Lorsque l’on fait une recherche sur votre blog avec les mots clés « achevé » ou « terminé » ou encore « fini » on ne trouve pas beaucoup de billets hormis celui-ci. Seriez vous confronté au même phénomène? Est-ce commun à tous les artistes?
Par ailleurs, je découvre à peine votre blog et j’apprécie beaucoup la démarche, très intéressante, bravo: J’y trouverais peut-être quelques pistes de réponses aux questions que je me pose sans arrêt dans mon propre parcours…
Guil
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