Voilà, c’est le premier état, les valeurs sont posées, maintenant je vais rentrer dans les taches. Il m’est venu à l’esprit d’utiliser une analyse de courbe sur la photo de la peinture comme on en fait pour analyser les typons en photogravure.
Il y a un petit déficit dans les noirs (je n’en utilise pas, ma teinte la plus foncée est un mélange de terre de Sienne brûlée + vert de vessie + bleu pourpre), les blancs purs sont très peu représentés, l’essentiel de l’image est composée d’une teinte qui se trouve à mi-chemin entre le gamma (le triangle du milieu ou gris 50 %) et le blanc pur. Il faut cependant faire la part des choses et prendre en compte les biais dus à la prise de vue (reflets, sur ou sous-exposition…).
Si on applique ça aux coureurs:
On obtient la courbe inverse, l’essentiel des pixels sont regroupés dans une zone comprise entre le gamma et le noir profond.
Et aux disparues du milieu :
La majeure partie des pixels gravitent (un accord par syllepse pour Gildas) autour du gamma. J’ai donc bien ici, en terme de tonalité générale, un passage du sombre au clair en passant par un gris intermédiaire (le gris moyen étant à 18 % de noir, je préfère le terme intermédiaire, qui semble plus approprié).
j’adore vous lire (à n’importe quelle page de votre journal)… et moi aussi, j’aime bien Michel Onfray et Gérard Garouste, même si … pas toujours … Ils sont généreux de partage, comme vous, comme j’aimerais l’être, mais le jardin et … etc. m’appelle ailleurs, mais bientôt, je l’espère … Si vous exposez bientôt, dites-le-moi, je serai ravie de venir voir vos travaux de recherche.
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