On a pu voir lors du post précédent qu’après être passé assez près du désastre absolu, j’étais (à tort ou à raison) plutôt satisfait du Clandestin. Je vais donc le prolonger un peu. Évidemment, je suis le premier surpris du résultat et le projet général a donc bifurqué. Ça ne me dérange pas du tout ; de toute façon c’était un peu trop « morale » pour moi. Voilà comment le virage s’est pris.
Je commençais par chercher une surforme de plomb, qui s’appuierait sur l’opposition structure du visage/motif décoratif environnant. Et puis en cherchant les ramifications végétales est arrivé le cerf. J’ai creusé le motif (ben mon cochon ! ).
En cherchant des représentations de cerfs, je suis tombé sur le mot « cerf » en langage des signes et ça m’a fait penser à ce vieil Ovide.
Il me fallait donc une Diane chasseresse et quelques nymphes, j’ai pas été les chercher bien loin. Elles vont subir le même traitement que Félon le double.
Dans les grandes lignes l’état provisoirement final du travail correspond à ça.