(V) Clandestin

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   C’est pas passé loin du ratage complet. C’était tellement compromis que je griffonnais sur le portrait au Bic® pour mettre en évidence des lignes de force. Et puis j’ai commencé à voir ce qu’il fallait faire.

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   J’ai « flouté » le stylo avec de la laque, fixé le fond, recouvert les bandes sur le bas du visage.

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   J’ai ciré le tout et c’est plaisant dans les foncés.

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  Ça fait une palette à la Wouters. Je ne sais pas encore si ça vaut le coup de le mettre en caisse, ou s’il faut creuser la gouache (c’est l’option qui l’emporte pour l’instant).

   Je suis en train de lire le bouquin de P.M. Menger Le travail créateur, s’accomplir dans l’incertain chez Gallimard. C’est un solide pavé, avec quelques fulgurantes vérités, Gildas a relevé tout de suite cette phrase de quatrième de couverture « Le travail n’est gratifiant pour l’artiste que si son déroulement demeure surprenant ». J’aime bien aussi.

2 réflexions sur « (V) Clandestin »

  1. Parce que le Correcteur Officiel s’autorise des commentaires extraorthographiques ? Mazette !

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  2. Et s’il n’y avait que ça, il vire au plasticien compulsif. Reliefs de table montés en hallucinantes sculptures, symphonies lumineuses de galets de verre poli ramassés sur la grève et bientôt organisation de ballets de feuilles d’acanthe crachotant leurs pépins…
    Je ne sais pas si je vais tenir le coup.

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