Voilà, les carreaux sont terminés (en fait il me reste les tranches du panneau gauche). Je n’ai utilisé que le rose et le rouge pour le dernier cadre, afin d’avoir une légère progression de gauche à droite, mais ce n’est pas très probant.
J’ai envoyé le dossier pour l’exposition d’Avallon. J’ai, je crois, bien insisté sur le côté interface du triptyque. J’ai proposé deux aménagements qui vont dans ce sens : l’ouverture d’un blog d’exposition pendant la durée d’accrochage qui servira de plateforme d’échanges, et la possibilité d’acquérir un ouvrage réalisé à l’unité à destination des spectateurs qui le désirent, incluant leur participation à la discussion du blog. Je ne suis pas un fanatique de Nicolas Bourriaud et de son esthétique relationnelle, mais je manque cruellement de retours sur ce que je fais.
La partie scénographique commence à s’étoffer. Mon principal souci consiste à intégrer le dispositif sans le plaquer, donc à conserver la navigation des éléments entre leur contenu et leur forme.
J’ai définitivement arrêté la nature du capteur. Ça sera un télémètre 50cm/5m. La position du spectateur, enfin plutôt la distance qui le séparera du tableau, sera affichée sur un petit panneau de Leds roses au milieu du registre supérieur du panneau central. Les différentes cartes se trouveront sur les côtés du panneau à leds. Le bloc d’alimentation va poser problème parce qu’il est très volumineux.
Pour les actionneurs j’ai des misères avec mon histoire de respiration, mais j’ai cependant une piste intéressante avec un projet de Numediart : Breathing opera, qui me donnera, je l’espère, des pistes d’investigations. Ça fait aussi partie d’un des projets proposés au FRAC pour l’année prochaine (pour l’instant, pas de retour).
Afin de pouvoir expérimenter mes patches confortablement, je me suis construit un petit banc d’essai pour la lumière et le joueur de baby frappeur.
La bête, avec ses équipements et la station d’essai au complet en dessous.
On voit que le rythme est meilleur, j’utilise deux sliders et une fonction log.